Les aérostats sont des aéronefs dont la sustentation est due à un gaz plus léger que l'air.

‘La jeunesse est un talent, il faut des années pour l’acquérir’ : c’est ainsi que ce résume cette histoire: le thème est donné. Pour le lieu : l’auteur nous emmène faire un tour chez elle, en Belgique.

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L’intrigue

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Ange, 19 ans, jeune philologue à Bruxelles, se fait engager pour aider un jeune adolescent de 3 ans son cadet à enrayer sa dyslexique. Au fil du temps la jeune femme va l’encourager à lire alors qu’il n’a jamais ouvert un livre de sa vie. Le guérir par la lecture est le seul moyen que la jeune fille ait trouvé. Elle trouve le père étrange, la mère encore plus. Elle sent qu’elle doit arrêter de le voir mais ne peut s’empêcher de revenir séance après séance….

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Mon avis et autres pensées

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Comme d’habitude chez Amelie Nothomb il y a toujours un côté sombre dans ces histoires et dans celle-ci c’est la fin. Je vous laisse la découvrir !

Jean Luc Riva  raconte le parcours exceptionnel de Philippe B : chuteur opérationnel, instructeur en sports de combat, expert en explosifs, et fin tireur…

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L’intrigue

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Élevé à la dure, proche de la délinquance, le déclic sera lors de la retransmission de l’assaut du GIGN sur un airbus à Marignane alors qu’il avait 16 ans. A partir de ce moment Philippe B fera tout pour intégrer le groupe. On le suit sur son parcours : le long combat pour faire partie de ce groupe d’élites qui sauve des vies au péril de la leur.

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Mon avis et autres pensées

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Ce livre se lit comme une aventure, tout y est raconté : les souffrances pour atteindre la perfection, les joies de voir des criminels enfermés grâce à l’intervention du groupe, les soirées et la fraternité qui se crée au fil du temps, les préparations au combat, les longues missions, les séparations et les angoisses des proches. On ne peut que le remercier de ce livre pour comprendre que le GIGN n’est pas seulement qu’un groupe d’intervention lorsqu’un individu menace mais également des hommes qui savent prendre en compte les différentes solutions pour que tout se passe bien… Philippe B s’est tourné vers le cinéma en fin de carrière (le corps ayant été mis à rude épreuve il a du quitter le groupe) et on lui souhaite tout le bonheur possible dans cette nouvelle quête.

J’ai découvert Yoann Barbereau lors d’une émission de télévision, il  y était invité pour raconter son histoire ! Et quelle histoire !  Il a vécu trois ans l’enfer en Sibérie : accusé à tort, inculpé pour pédophilie, il sera livré en pâture aux autorités sans pouvoir prouver son innocence, il perd tout : son travail, ses amis, sa femme et sa fille…  Réfugié en France il reste discret, il a écrit pour nous raconter son histoire.

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L’intrigue

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Tout commence bien ! Le lac Baïkal, une épouse bien aimée, une petite fille adorable, un nouveau poste au fin fond de la Sibérie Oriental à Irskout, au sein de l’Alliance Française. Yoann Barbereau ne peut pas rêver mieux. En quelques années il redresse la société qui périclitait, se fait un large cercle d’amis et puis soudain c’est la chute ! Accusé de pédophilie il se retrouve broyé sous le coup d’un ‘kompromat’ : mot inventé par le KGB avec à la clé 15 ans de camp à régime sévère… Il tentera de se défendre lors d’un procès, en vain… Il n’a aucune chance, le système est trop fort alors il décide de s’évader…  Pendant plus d’un an il prépare sa fuite méticuleusement…en blablacar…

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Mon avis et autres pensées

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On suit l’auteur avant, pendant et après sa chute… On a du mal à croire qu’il a été broyé pour pas grand-chose ! Il nous  explique à travers son récit sa soif de comprendre, de se défendre et d’échapper à ce système qui lui a tout enlevé. Il écrit pour se souvenir, pour dénoncer, pour sa fille et ses amis, pour dire la vérité !

Michel Bussi a publié ce livre sous un pseudonyme : il explique que le roman étant plus noir que ce qu’il écrivait d’habitude,  il ne souhaitait pas le publier sous son nom pour ne pas désorienter ses lecteurs. Puis quelques années plus tard il le publiera sous son nom.

Vous pouvez retrouver en ce moment rediffusé à la télévision l’adaptation de son roman ‘maman a tort’… Suspense garanti !

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L’intrigue

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De Bordeaux à Hong Kong, en passant par l’Arménie, Zak Ikabi n’a qu’une seule obsession : réunir les pièces d’un gigantesque puzzle pour trouver enfin l’Arche de Noé ! Embarquée bien malgré elle, la glaciologue Cécile Serval se voit bientôt entrainée dans une aventure qu’elle n’avait pas prévu et dont elle ne sait pas l’issue… Une véritable cavale contre le temps, les hommes de Nephlim, un homme mauvais qui se fait appeler Cortés…

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Mon avis et autres pensées

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L’auteur nous indique s’être beaucoup documenté pour écrire cette histoire et on le croit. Il part du constat que le mythe du déluge et d'un homme sauvant une part de l'humanité existe dans quasiment toutes les religions, quelque soit leur origine. Dans la bible, il s'agit évidemment de Noé abritant dans son arche des couples d'animaux le temps de la montée des eaux. La tradition a fini par identifier l'Ararat, le très haut sommet d'Asie mineure (5137 mètres), comme ce point culminant sur lequel l'Arche se serait accrochée. Les histoires d'expéditions de chercheurs d'Arche rapportées par les héros tout le long du roman partent d'une base réelle.

On retrouve la patte de l’auteur : dans sa capacité à construire des rebondissements de façon à tenir le lecteur en haleine. Le roman avance à coup d’intrigues, de scènes de courses poursuites en voiture, de cascades et de romance. On plonge avec délice dans ce thriller ésotérique et on ne le lâche plus jusqu’à la fin !

L’auteur

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Improbable mélange de Jane Austen, Agatha Christie et humour « british », la série « Agatha Raisin enquête » créée par M.C. Beaton, romancière écossaise, est un délice de littérature contemporaine sans prétentions. L’héroïne nous embarque dans ses enquêtes policières, dans ses romances personnelles, dans ses tribulations intérieures et dans sa quête du bonheur.

Le cosy de la petite bourgade anglaise, le so british, la pure détente sont les trois mots d’ordre de cette série addictive !

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L’intrigue

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Agatha Raisin tombe une nouvelle fois amoureuse ! Cette fois, elle a jeté son dévolu sur George Marston, un jardinier récemment arrivé à Carsely. Hélas, elle n’est pas la seule à lui faire les yeux doux. Alors, pour être sûre de ne pas rater sa cible, Agatha a une idée : organiser un bal de charité rien que pour pouvoir danser avec George et qui sait, le séduire…

Mais son beau projet tourne au fiasco lorsque, ne voyant pas venir l’objet de ses fantasmes, elle le retrouve raide comme un bout de bois, la tête dans un sac rempli de serpents, baignant dans le compost. Aussitôt, les rumeurs se répandent et les langues de vipères aussi : George avait fait plus d’une conquête et… de nombreuses jalousies.

À Agatha de jouer…

Mon avis et autres pensées

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J’aime à retrouver Agatha et ses enquêtes, son humour british, sa détermination à résoudre ses enquêtes. Cette histoire ne déroge pas à la règle tout y est réuni pour passer un très bon moment en sa compagnie…

L’auteur

Qui ne connait pas Amélie Nothomb, son grand chapeau, son penchant pour les coupes de champagnes ! Tous les ans elle publie un seul roman alors qu’elle est prolifique et en écrit des dizaines qui restent dans ses tiroirs…

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Cette année elle s’attaque à Jésus, au moment précis où il est condamné à mort, et elle imagine ce qu’il pourrait bien penser entre le moment de son procès et de sa mort. Vaste sujet !

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L’intrigue

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Jésus est condamné à mort par Ponce Pilate. Ses détracteurs sont ceux à qui il a sauvé la vie ! Ils ont le culot de le lui reprocher maintenant. Les ingrats ! Mais il connait son destin alors il se tait et accepte la sentence : la mort par crucifixion. Il ne comprend pas pourquoi son Père lui inflige cette épreuve. Peut être que finalement son Père n’ayant pas eu de corps n’a jamais pu éprouver ce qu’est la souffrance physique. Après réflexion Jésus pense qu’il va souffrir le martyre, cloué sur la croix, alors il lui faut une souffrance encore plus intense pour oublier l’autre : ce sera la soif ! ‘Pour éprouver la soif il faut être vivant’ !

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Mon avis et autres pensées

Amélie Nothomb invente les dernières pensées de Jésus, avec ses émotions, ses envies, ses passions, ses travers ! Un être humain, fait de chair et de sang… A travers les pensées de Jésus elle s’interroge sur le genre humain, sur les relations avec autrui, avec le corps, avec les émotions agréables ou non, avec les rancœurs, avec la souffrance, l’empathie…

Elle décortique également l’écriture de la Bible en faisant dire à son héros pourquoi on a lui a prêté certains actes et certaines paroles, et parsème son roman de citations inspirées ainsi que des flashes de voyance sur le futur !

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En vérité je vous le dit : j’ai beaucoup aimé suivre les méandres des pensées de Jésus !

L’auteur

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On connait tout d’abord Olivia Ruiz, la chanteuse, par le radio crochet qui l’a fait découvrir il y a quelques années à la télévision. Elle fait partie désormais des auteures qui comptent. Son roman surfe sur la vague du succès, elle a été invitée à l’émission ‘la grande librairie’  sur France 5.

Avec cette histoire Olivia Ruiz nous entraine sur les traces de son passé, de ses origines. Elle entremêle son histoire avec la grande avec un grand H !

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L’intrigue

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A la mort de sa grand-mère, Rita,  une jeune femme hérite de sa commode aux tiroirs de couleurs. Depuis toute petite cette commode l’intrigue. Entre la peine de la perte de son Abuela et l’excitation de découvrir enfin ce qui se cache dans ces tiroirs, la jeune femme a toute la nuit pour découvrir ce qui lui cachait Rita… Chaque tiroir correspond à une période de vie de sa grand mère : depuis sa fuite en Espagne jusqu’à la naissance de sa petite fille préférée…

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Mon avis et autres pensées

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Olivia Ruiz nous entraine avec sa grand-mère sur les traces de son passé : les franquistes, l’au revoir à ses parents, la fuite en France en train, la peur, l’accueil mitigé des français, l’adaptation à cette nouvelle vie, la découverte de la vie…

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Les mots nous emportent au soleil sur les traces de cette femme fière qui ne renie pas ses origines et qui a du s’adapter à sa nouvelle vie.

L’écriture se veut légère alors que l’histoire de Rita est parfois dure. Je vous laisse suivre ses pas et tenter de démêler la fiction de la réalité !

L’auteur

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J’ai déjà évoqué dans cette même rubrique Virginie Grimaldi pour son roman ‘Quand nos souvenirs viendront danser’ (juin 2019). Je la suis sur son compte instagram ; elle a égayé mes journées grâce à ses lettres à ses ‘chère mamie et cher papy’ : petites pastilles émouvantes et pleine de drôlerie sur sa vie en confinement (le moment où elle raconte son épilation est tordant et bien d‘autres encore). Elle va bientôt les publier. J’ai hâte !

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L’intrigue

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C’est l’histoire d’une jeune femme qui vient d’être mère et qui va devoir apprendre le métier de mère.

C’est l’histoire d’une femme qui vient de laisser partir le petit dernier à l’autre bout de la France, et qui va devoir apprendre à s’occuper d’elle.

Au fil du temps ces deux femmes vont se révéler plus fortes qu’elles ne le pensaient, et vont découvrir autour d’elle une solidarité, des amitiés et une autre façon de vivre.

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Mon avis et autres pensées

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Cette histoire va vous faire éprouver toute une palette d’émotions : on rit, on s’émeut, on pleure, on sourit, on rit… On est secoué, émerveillé et bluffé ! L’auteur s’est inspiré des épreuves qu’elle a vécues pour créer ses personnages et son histoire. Elle rend également un hommage émouvant et fort au personnel soignant.  La fin m’a laissé sans voix… J’aurai pourtant du  le savoir ! Un indice ? Écoutez bien les mots au début de l’histoire… Je vous laisse découvrir mon coup de cœur de cet été !

J’avais lu du même auteur ‘entre mes mains le bonheur se faufile’ (son 2nd roman) que j’avais beaucoup aimé (rubrique ‘blog’ article ‘des livres, toujours des livres’ du 9/12/2019). J’ai donc lu à la suite son premier et dernier roman !

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L’auteur

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Psychologue clinicienne elle écrit son premier roman ‘les gens heureux lisent et boivent du café’ et le publie sur la plateforme Kindle… Succès immédiat le roman sera publié chez les éditions Lafon en 2013. Depuis elle publie à chaque printemps un nouveau roman,  traduit par la suite dans 30 langues étrangères.

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Les intrigues

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*Les gens heureux lisent et boivent du café

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Cela fait un an que Diane se terre chez elle, elle dort avec le doudou de sa fille et dans une chemise de son mari… Ne surtout rien oublier, leurs odeurs, leurs voix, leurs expressions… Ils sont morts tragiquement et elle n’arrive pas à faire son deuil… Un jour elle se rappelle que Colin, son mari, voulait l’emmener en Irlande, alors qu’elle avait toujours refusé (elle était plutôt plage), elle décide sur un coup de tête de s’y rendre, pour lui mais aussi pour s’y retrouver.

Commence alors un long combat contre elle mais aussi contre son voisin, Edward, un malotru qui l’empêche de noyer son chagrin… Finalement la pluie, les rafales de vent, les nuages bas vont avoir raison de sa tristesse.

*Nos résiliences

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La vie de Ava est bien réglée et elle aime sa vie : une belle maison, un métier qui la passionne, un mari qu’elle l’aime et qui l’aime en retour depuis 15 ans, deux enfants qui se chamaillent de temps à autre, un chien, un chat… Elle s’apprête à lancer un nouvel artiste… Oui tout va bien ! Mais un soir tout  bascule, et s’il y avait un avant un après… Et si de cette épreuve elle pouvait en sortir plus forte mais il lui faut traverser cette épreuve avec ses moments de doutes, de néant, de sidération, de peur… Seule la jeune femme va se battre pour ne pas sombrer… Mais est ce que c’est bien ça qu’on lui demande ?

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Mon avis et autres pensées

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Ava voit sa vie si parfaite, si bien rythmée, basculer un soir… S’installe alors des sentiments de peur, de désolation,  de colère, de résignation, d’étouffement, de déni de ses émotions pour se consacrer aux autres. Les émotions d’Ava sont la sève de ce roman, on la suit dans son long combat pour elle et sa famille. On tremble avec elle, on a peur avec elle, on hésite avec elle, on se projette, on se consume avec elle…

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Et si finalement d’un malheur on pouvait s’en remettre et surtout reconstruire sur les cendres froides du renouveau, cela pose effectivement la question de résilience, du don de soi et d’une force incroyable pour reprendre sa vie en main et la transformer…

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Diane de son coté est malheureuse elle n’arrive pas à faire son deuil, une rencontre à dans un coin perdu d’Irlande va tout chambouler…

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Agnès Martin Lugand  nous prend par les sentiments, nos émotions quelque fois débordent et nos vies sont chamboulées, le temps est un remède qu’il faut savoir prendre et quelque fois rompre de force pour avancer…

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Alors une question se pose : ‘et si un seul instant suffisait à faire basculer votre vie‘ que feriez-vous ?

On l’a attendu le petit dernier de Guillaume Musso ! En effet sa sortie a été perturbée par le confinement. Enfin il est arrivé ! Je l’ai dévoré…

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L’intrigue

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‘Un jour d’avril ma fille de 3 ans Carrie a disparu alors que nous jouions toutes les deux dans mon appartement de Brooklyn’

Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. La porte et les fenêtres de l’appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d’intrusion. L’enquête de police n’a rien donné.

Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au cœur broyé se terre dans une maison délabrée.
Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.

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Mon avis et autres pensées

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Dans ce roman Guillaume Musso renoue avec ses premières amours : c'est-à-dire ses premiers romans : du romantisme, du surnaturel. ET comme dans son précédent roman ‘la vie secrète des écrivains’ il distille ses réflexions sur les écrivains, sur les lecteurs.

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Pour cette histoire il part d’une réalité qui finalement n’en est pas une. Et nous, pauvres lecteurs, on tombe dans le panneau à coup sûr… Car finalement l’héroïne devient un héros, l’action commencée à New York se poursuit à Paris. L’auteur, entre thriller, fiction, réalité et imaginaire, aime brouiller les pistes, et parsème son roman d’indices. A nous de les débusquer…

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‘Un roman réussit c’est d’abord un roman qui rend heureux celui qui le lit’ je réponds un grand oui… merci Mr Musso de  continuer à écrire et à nous faire rêver…

Je viens de relire ce roman paru en 2017. La première fois je ne sais pas pourquoi je n’étais pas parvenu à m’intéresser à l’histoire de Leyli. Et puis cette fois ci j’ai été captivé.

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Vous le savez maintenant Michel Bussi est l’un de mes auteurs préférés.

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Je l’ai découvert avec son premier roman ‘les nymphéas noirs’ et bien ‘on la trouvait plutôt jolie’ me le rappelle un peu… Plusieurs histoires qui s’entremêlent, un suspense, une héroïne…

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L’intrigue

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Il était une fois une petite fille au Niger qui jouait sur la plage… Un jour son destin bascula et elle du quitter sa terre natale, commence alors un long voyage. Maintenant elle doit se battre, pour elle, pour ses parents et pour ses enfants. Cette histoire parle de familles séparées, déchirées, entre deux continents, de personnes qui risquent leur vie en s’enfuyant en laissant tout derrière eux. Des invisibles qui souhaitent eux aussi une place au soleil, une vie normale…

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Mon avis et autres pensées

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Il faut s’accrocher, noter tous les détails, car ce sont eux qui font le socle de cette histoire. L’auteur mêle les lieux, le temps, les détails et surtout il entremêle les vies de ces personnages principaux et secondaires. Il nous entraine du désert sahélien à Marseille, sur les traces de son héroïne et de son lourd secret.  L’histoire est captivante, bouleversante.

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Du nouveau sur mon blog ‘brin d’humeur’ suite à la lecture du roman de Delphine De Vigan ‘les loyautés’ ; j’ai déjà évoqué cette auteur dans cette rubrique avec ses romans ‘les jolis garçons’ et ‘les heures souterraines’

Là encore l’auteur nous parle de réalité, de vie vraie, de personnages malmenés, des histoires de personnes qu’on pourraient tous côtoyées sans oser les aborder et en les laissant de côté… L'auteur ose aller dans ce registre de la Vie réelle... Sujet délicat abordé avec tendresse...

L’intrigue

Dans cette histoire les personnages se côtoient, se croisent, se frôlent.. Chacun, à son tour, donne sa version de sa propre histoire : Théo, de parents divorcés, traine un mal être que personne ne veut voir ; sauf peut-être la prof de français Hélène, qui elle sait reconnaitre ce genre de comportement ; Mathis, le seul ami de Théo,  fera tout pour l’aider, et ce malgré les tentatives de sa mère Cécile pour les séparer, elle-même risque de sombrer lorsqu’elle découvre les activités de son époux qu’elle croyait connaitre.

Mon avis et autres pensées

Les mésaventures de Théo se mêlent aux autres personnages et petit à petit la trame du drame se dévoile sous nos yeux.

Ce roman nous renvoie à une réalité profonde : de misère, de malheur, de désespoir.

L’écriture est magnifique, et j'ai beaucoup de plaisir à lire cette auteur.

J’ai eu la chance de lire le dernier roman de Michel Bussi pendant mes vacances. Je ne présente plus cet auteur que j’affectionne particulièrement

Ces romans ont été traduits dans le monde entier, deux de ces romans 'maman a tort ' et 'un avion sans elle' ont été adaptés pour le petit écran en série.

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L’intrigue

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Au cœur d’une ile sauvage à l’autre bout du monde là où planent les âmes de Jacques Brel et de Paul Gauguin, 5 femmes sont invitées à participer à un atelier d’écriture animé par un célèbre auteur de best-sellers… C’est le rêve de leur vie ; elles souhaitent toutes parvenir à écrire le roman qui les fera connaitre.

Lorsque l’auteur disparait, elles croient tout d’abord à un jeu mais lorsque l’une d’entre elle est retrouvée morte alors la peur s’installe et chacune s’espionne… Commence alors un jeux de piste sous un soleil brulant au sein d’une jungle hostile dans une forêt tropicale qui cachent d’autres secrets…

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Mon avis et autres pensées

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Ce roman m’a fait penser au roman ‘les nymphéas noirs’ : il est construit comme un puzzle … comme d’habitude on s’enfonce dans cette histoire en se demandant où l’auteur veut nous mener. La fin est un twist auquel on ne s’attend pas… Où va-t-il chercher tout ça ! je me suis régalée !

Je vous laisse découvrir ce huis clos orchestré d’une main de maitre…

L’auteur

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Pauline Sara-Jo Moyes (connue sous le nom de Jojo Moyes) est une journaliste et romancière britannique.

Elle a étudié à Royal Holloway, University of London. En 1992, elle a remporté une bourse financée par le journal "The Independent" pour suivre le cours de journalisme de troisième cycle à la City University, de Londres. Elle a ensuite travaillé au The Independent durant les 10 années qui ont suivi. 

A partir de 2002 elle est devenue romancière à plein temps.

Elle est l'un des rares auteurs à avoir remporté deux fois le roman romantique de l'année (Romantic Novelists' Association Awards), en 2004 pour "Arcadia Hotel" ("Foreign Fruit", 2003) et en 2011 pour "La dernière lettre de son amant" ("The last letter from your lover", 2010).

"Jamais deux sans toi" ("The One Plus One", 2014) a obtenu le prix des lectrices 2015.
Son roman "Avant toi" ("After you", 2015) a été adapté au cinéma en 2016, avec Emilia Clarke et Sam Claflin.

Jojo Moyes vit dans une ferme à Saffron Walden, Essex avec son mari, le journaliste Charles Arthur, et leurs trois enfants.
 

L’intrigue

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‘Avant toi’ => Lou est une fille ordinaire qui mène une vie monotone dans un trou paumé de l’Angleterre dont elle n’est jamais sortie. Quand elle se retrouve au chômage, elle accepte un contrat de six mois pour tenir compagnie à un handicapé. Malgré l’accueil glacial qu’il lui réserve, Lou va découvrir en lui un jeune homme exceptionnel, brillant dans les affaires, accro aux sensations fortes et voyageur invétéré. Mais depuis l’accident qui l’a rendu tétraplégique, Will veut mettre fin à ses jours. Lou n’a que quelques mois pour le faire changer d’avis.

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‘Après toi’ => Un an et demi après avoir exaucé le vœu de Will, qui souhaitait bénéficier du suicide assisté, Lou quitte sa ville natale où elle est la cible de critiques. Elle commence une nouvelle vie à Londres, mais elle a du mal à se conformer aux dernières volontés de Will qui lui recommandait de profiter de la vie. Elle revient alors au bercail, et se fait engager dans un bar… Sa vie va basculer avec l’apparition d’une jeune fille, qui prétend être la fille de Will.  

Mon avis et autres pensées

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J’ai adoré suivre les aventures de Lou, et je viens de découvrir qu’il y a une 3ème tome… à la fin du 2nd elle part à New York je vais la suivre là-bas….

Une fois n’est pas coutume lors de la sortie du livre ‘une fille comme elle’ de Marc Levy je n’avais pas réussi à me le procurer ......1 an après c’est chose faite… en format poche.

Et j’ai adoré

Je ne vous raconte plus la biographie de Marc levy (voir cette meme rubrique pour son livre ‘l’horizon à l’enveRs’)

L’intrigue

À New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres…

Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.

Entrez au N° 12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer… dans la plus délicieuse des comédies new yorkaises !

Mon avis et autres pensées

Ne pas se fier aux apparences : c’est un peu le message de ce livre

Chloé, jolie jeune femme pleine de vie, partage un appartement au 8ème étage avec son père, Deepak, jeune homme d’origine indienne entrepreneur, va se retrouver à travailler dans l’immeuble comme liftier…

Autour de cet ascenseur ils vont se croiser, essayer de se comprendre pour finalement se rejoindre.

Marc Levy nous offre là une jolie histoire, où les personnages de l’immeuble se croisent, un concentré de diverses personnalités, auxquelles on s’attache très rapidement.

Bonne lecture !

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L'auteur

Je viens de terminer le dernier Virginie Grimaldi… Son avant dernier livre ‘il est grand temps de rallumer les étoiles’ m’avait beaucoup plu.

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Virginie Grimaldi a toujours voulu écrire. Un jour elle se lance, elle envoie son manuscrit par mail au seul éditeur qui accepte ce format là… et c’est la consécration… son premier roman ‘le premier jour du reste de sa vie’ est publié en 2014 et depuis elle enchaine les succès... Elle est classée 6ème au palmarès 2018 des livres les plus vendus en France.

L’intrique

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‘Quand nos souvenirs viendront danser’ nous entraine sur les traces de Marceline, habitante de l’impasse des Colibris. Elle et son époux se joignent à leur voisins afin de défendre leur lieux d’habitation.

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Le maire a besoin de place, sa commune ne cesse de s’agrandir, il veut construire une nouvelle école… et il a donc choisi l’emplacement de l’impasse des Colibris : les maisons vont être rasées et les souvenirs avec. Mais c’est sans compter ses habitants… Coûte que coûte ils ne se laisseront pas faire. Alors ils se regroupent malgré le passé, les rancœurs et les jalousies et s’organisent.

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‘Tous les coups sont permis, pense Marceline, nous n’avons plus rien à perdre et c’est plus excitant qu’une sieste devant Motus !’

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Petit à petit grâce aux réseaux sociaux et l’aide du petit fils de Marceline leurs actions vont être de plus en plus médiatisées. Ils iront jusqu’à Paris pour une rencontre avec Jean Pierre Pernault…

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Au fil de ce combat, grâce au journal intime de Marceline, on découvre la vie des habitants de l’impasse, depuis le début (l’installation, la naissance des enfants, l’entre aide entre voisins) jusqu’au drame. Les masques vont tomber, on comprend petit à petit comment se sont défait les liens, comment sont arrivées les rancœurs, les petites piques de Marceline, les jalousies, et enfin l’éloignement.

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Mon avis et autres pensées

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Sur les traces de Musso, Bussi, (ça doit être dans l’air du temps !)  on navigue entre présent et passé.

Le passé c’est l’histoire de Marceline et Anatole au fil du temps ; leur bonheur, leur chagrin.. une longue vie bien remplie, d’amour, de trahison, de réconciliation, de joie, de peines…. Et puis il y a le combat pour sauvegarder la mémoire de l’impasse mais également la mémoire de leur couple…

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Cette lecture fut jubilatoire. Les remarques de Marceline tout au long de l’histoire font mouche. Elle n’a pas la langue dans sa poche, j’ai bien rigolé ; j’ai été ému aussi… Les personnages sont attachants, on plonge dans leur aventure avec délice.

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A travers les souvenirs de Marceline c’est une magnifique histoire d’amour, de tendresse, de secrets de famille, et la force des liens d’amitiés… un roman émouvant et plein d’humour… sur le temps qui passe. Virginie Grimaldi n’a pas son pareil pour raconter ce genre d’histoire ; elle y a mis tout son cœur…

Je vous souhaite une belle lecture…

L’auteur

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Laurence Vivares est publicitaire. Elle nourrit depuis toujours une passion pour l’écriture. Elle signe ici son premier roman.

Pour écrire l’histoire de Lucie l’auteur s’est inspirée de ses séjours à Venise, et de ses expériences de nombreux stages d’écriture. Elle dit : ‘Je n’avais aucune idée de roman avant d’arriver à Venise. C’est peut-être l’atmosphère magique de l’hôtel baroque dans lequel nous logions, la phase un peu mélancolique de ma vie dans laquelle j’étais à l’époque ou le fait de découvrir la ville hors de la saison touristique, mais j’ai été touchée par Venise, et j’ai eu l’idée des personnages de l’intrigue.”

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L’intrigue

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Lucie, styliste parisienne, revient seule, sur les lieux où son histoire d'amour s'est échouée pour essayer de comprendre, de se confronter à son chagrin, de 'recoloriser' ses souvenirs. Ce voyage intérieur et extérieur la conduit à Venise, trouble et mystérieuse en novembre, pendant la période de l'acqua alta. Au rythme d'une douce errance, Lucie vit trois jours intenses, sous le charme nostalgique de la ville. 
En compagnie de Vénitiens qui croiseront providentiellement sa route, un architecte et sa sœur, une aveugle, un photographe, elle ouvre une nouvelle page de son histoire.

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Mon avis et autres pensées

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J’ai adoré cette jolie histoire, mélancolique à souhait, écriture délicate qui nous mène à une réflexion plus ou moins profonde sur la (notre ?) Vie.

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On suit les pas de l’héroïne déambulant dans les ruelles de Venise sous la pluie, avec cette luminosité spécifique de l’Acqua Alta, là où le bleu du ciel se confond avec les eaux de la ville. Les rencontres rythment cette histoire, et aident Lucie à avancer dans sa démarche de reconstruction. Au fil et à mesure elle va s’ouvrir aux autres et découvrir qu’elle peut se détacher de son histoire d’amour d’abord et de son histoire de petite fille par la suite.

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Belle lecture !

J’ai découvert  Jean Christophe Ruffin lors de l’émission ‘la grande librairie’ avec Guillaum Musso. Ils étaient tous les deux présents pour parler de leur dernier livre.

Ancien médecin, ambassadeur, membre de l’Académie Française, il recoit le prix Goncourt pour son ‘Rouge Brésil’ en 2001. Il est prolifique et a écrit de nombreux ouvrages dont ‘le collier rouge’ adapté au cinéma avec François Cluzet.

L’intrigue

Edgar et Ludmilla sont très jeunes lorsqu'ils se rencontrent de façon totalement improbable. Edgar, apprenti reporter-photographe, partit en expédition en ex-URSS, croise la route de la belle Ludmilla dans son village. Nous sommes dans les années 60. Tout les oppose c’est le coup de foudre. Hélas à ce moment là et dans ce contexte il ne peut rien pour elle. A son retour il va tout faire pour retourner la chercher. Ils doivent se marier afin que Ludmila puissent sortir de son pays. Ce sera leur premier mariage, mariage à la hâte afin de la sauver.

Et ainsi débute une sorte de tourbillon en forme de montagnes russes, alternant périodes de réussite et dégringolades, de mariages et de divorce. Edgar a la bosse des affaires mais n'est pas trop regardant sur les méthodes. Ludmilla fera une carrière de cantatrice dans le monde entier.

Les deux héros nous entrainent sur plusieurs voies : la voie de l’amour avec cette interrogation ‘si le mariage devait être la fin et non le début du couple’, et sur la voie de l’Histoire : on passe des annes 60 aux années 80, dans un tourbillon en suivant l’actualité de près.

Mon avis et autres pensées

L’auteur à travers ses deux personnages, met un peu de lui-même : il s’est en effet marié plusieurs fois. Il dit qu’il ne souhaite pas se dévoiler directement et se sert de ces personnages pour nous informer sur ses pensées intimes.

Un joli conte à découvrir…

Week end dernier, au calme je me suis enfermée pour découvrir le nouveau roman de Guillaume Musso … Je ne vous présente plus cet auteur, reconnu et traduit dans le monde entier !

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Depuis le début de sa carrière, pas moins de 28 millions d’exemplaires ont été vendu et, depuis 2011, il est chaque année élu le romancier le plus lu. Ses ouvrages sont traduits partout dans le monde et il fait un carton en Corée (numéro 1 des ventes sur plusieurs semaines pour son livre ‘Sauve-moi’).

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Guilaume Musso jongle aisément entre les histoires d’amour, saupoudrées d’éléments surnaturels (‘sauve moi’, ‘parce que je t’aime’, ‘je reviens te chercher’) au thriller, qu’il a tendance à d’avantage évoquer dans ses derniers romans (‘la fille de Brooklyn’,  ‘un appartement à Paris’, ‘la jeune fille et la nuit’). Son écriture visuelle a permis à  quelques uns de ses romans d’avoir été adaptés au cinéma (‘Et après’).

Donc non je ne le présente plus…

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L’intrigue

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Une île sauvage et sublime au large des côtes méditerranéennes… Un jeune écrivain qui essuye un énième rejet de la part d’une maison d’édition ; un écrivain, qui en pleine gloire, s’est retiré du monde ; un bibliothécaire qui affirme qu’à notre époque les gens ne lisent plus et une jeune et jolie journaliste qui mène l'enquête…

Voilà les ingrédients du dernier livre de Guillaume Musso

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Jeune écrivain en herbe, Raphaël Bataille vient s’installer sur l’ile de Beaumont, pour travailler dans l’unique librairie au côté de Mr Audibert. Cependant, il est venu dans ce coin de paradis afin d’entrer en contact avec son écrivain préféré Nathan Fawles. Il est en effet persuadé que lui seul peut lui donner des conseils sur son livre qu’aucun éditeur ne veut. Mais l’écrivain Nathan Fawles vit reclus depuis plus de 20 ans, après avoir annoncé en pleine gloire qu’il se retirait du monde et qu’il n’écrirait plus jamais. Ce qui attise encore plus la curiosité du jeune homme. Et le contact avec l’écrivain se révèle difficile, il tente une approche mais est accueillit à coup de fusil.

Alors qu’il désespère de pouvoir lui parler vraiment, un crime affreux est commis sur ce petit coin de paradis. S’engage alors une course contre la montre pour comprendre ce qui relie la victime (Appoline Chapuis) à son romancier préféré.  Tout ce qu’on voit n’est pas vraiment la vérité… La vérité est changeante selon de quel point de vue on se place. Et chaque personne a son secret : ‘tout le monde a trois vies : une vie privée, une vie publique et une vie secrète…’

Mon avis et autres pensées

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Cette histoire est fulgurante, passionnante et diabolique.

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L’auteur s’amuse avec le lecteur c’est flagrant. J’ai adoré suivre les aventures de ce jeune écrivain et je me suis régalée des commentaires de l’écrivain chevronné : 'la première qualité pour être un  écrivain c'est d'avoir de bonnes fesses' balance t il nonchalamment au jeune Raphaël lors d'un cours magistral sur ce qu'est un bon écrivain! Une question ne m'a pas quitté durant ma lecture : ‘est ce que c’est Guillaume Musso qui répond ou c’est le personnage de Fawles et donc uniquement son imagination !’

On se prend très vite au jeu…On croit savoir et puis finalement non !… Mes suggestions ou idées émises se sont vite écrouler comme des châteaux de sable au fur et à mesure que l’histoire se déroule… Les personnages ne sont finalement pas ce qu’ils sont (peut être uniquement le narrateur avec son caractère un peu naïf…). Dans l’histoire il y a plusieurs histoires qui s’entremêlent, se chevauchent pour finalement n'en faire plus qu'une, et celle ci la grande dévoilera les mystères au tout dernier moment.

Comme toujours Guillaume Musso sait nous tenir en haleine et il nous entraine bien plus loin qu’on aurait pu l’imaginer.

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Alors est ce que le personnage de Fawles est inventé de toutes pièces ou y a-t-il un peu de l’auteur en lui ? On ne le saura pas vraiment…sauf que peut être : lors de l’émission ‘la grande librairie’ Guillaume Musso, invité,est interrogé sur le fameux ‘questionnaire’ de Bernard Pivot (tiré de son émission ‘bouillon de culture’), et oh surprise, les réponses qu’il nous livre en direct sont les mêmes que celles dans son roman…

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Alors ? On continue tout de même de s’interroger ‘ne l’a-t-il pas fait exprès ?’ … et en refermant le livre je me dis que un an à attendre son prochain roman va me paraitre bien bien long…

J’ai eu la chance d’assister à une conférence assez confidentielle dédié à des éditeurs, auteurs, et bibliothécaires avec Michel Bussi.

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Il m’a gentiment dédicacé son dernier ouvrage et pris quelques minutes pour répondre à mes questions. J’étais sur un petit nuage…

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Son nouveau roman nous raconte une histoire d’amour qui nous embarque en voyage's' : voyage dans le temps entre le passé et le présent ; voyages autour du monde Paris, Montréal, Las Vegas, Barcelone et Jakarta ; voyage littéraire et musical...  Le titre ‘j’ai du rêver trop fort’ est annonciateur… Une histoire d’amour… sur fond de carte postale.

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L’intrique

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Nathy, jolie hôtesse de l’air, de 54 ans, maman et grand-mère, va voir ressurgir son passé à travers d’étranges coïncidences. C’est tout d’abord un planning de vol qui correspond en tout point à ce qu’elle a vécu il y a 20 ans. A l’époque dans la salle d’attente une douce musique lui fait relever la tête. Elle fera la connaissance d’un jeune homme, Ylian qui va la bouleverser.

De retour chez elle et à la réalité elle se sent complètement déboussolée. Son mari et sa fille l’attendent mais son ‘génie d’artiste’ lui a fait tourner  la tête. Elle espère tant le revoir lors de sa prochaine escale. 

Entre passé et présent Naty va revivre sa folle histoire d’amour lors de ces diverses escales…. Hasard, folie, manipulation ou coïncidences ? Qui oblige la jolie hôtesse de l’air a rejoué 20 ans plus tard la même partition ?

Mon avis et autres pensées

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J’ai beaucoup aimé cette jolie histoire d’amour. Michel Bussi nous a habitué à ces allées et venues entre le présent et le passé et il le fait bien.

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Accrochés vos ceintures et bon vol !

J’ai lu il y a quelques temps déjà le premier livre de cette auteure : ‘demain est un autre jour’…. Ce livre avait été un succès planétaire ; la Fox a d’ailleurs acheté les droits pour une adaptation cinématographique.

Tori Nelson Spielman était enseignante avant de se consacrer à l’écriture.

L’intrique

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Pour cette nouvelle histoire on suit Erika Blair, femme d’affaires accomplie, deux filles Annie et Kristen (5 mois d’écart), divorcée, bref une vie accomplie et bien remplie… jusqu’au jour où l’une de ses filles, Kirsten, perd la vie dans un accident de train alors qu’elle rentrait rejoindre son université… Pour Erika, que cette perte laisse abasourdie, c’est la descente aux enfers. Elle culpabilise et se sent responsable, la relation avec sa fille cadette est rompue : cette dernière Annie croit dur comme fer que sa sœur est toujours vivante, son ex mari se détourne de la situation, elle sait qu’elle n’obtiendra pas de soutien de la part de son père, peut être sa sœur Kate peut l’aider mais elle ne souhaite pas revenir sur l’ile de son enfance, qu’elle évite depuis plusieurs décennies.  

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Et si le chemin de la rédemption était finalement le chemin du passé : ‘fais la paix avec ton passé, ton avenir en dépend’ reçoit-elle, un jour, par mail, d’un mystérieux inconnu sous l’adresse mail ‘Unmiracle.com’. Erika va alors se lancer sur les traces de son enfance pour reconquérir sa fille vivante, faire le deuil de sa fille perdue et renouer enfin avec son enfance.

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Mon avis et autres pensées

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J’avoue qu’en lisant le résumé j’ai débuté la lecture avec scepticisme. Cependant dès le premier chapitre j’ai accroché. Cette histoire est une histoire qui parle de relations : mère-fille, père-fille, sœur et sœur… Ce roman parle de tendresse, de pardons… les petites phrases envoyées par le mystérieux  inconnu tout au court de la quête d’Erika va l’aider à trouver la force pour affronter la mort de sa fille, pardonner et comprendre  son père pour la mort de sa mère, lorsqu’elle avait 11 ans. Petit à petit elle se rapprochera de sa fille et arrivera à se pardonner elle-même…

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Quelques citations que j’ai particulièrement appréciées :

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‘L’exploratrice avisée analyse son périple précédent avant de mettre l cap sur sa nouvelle destination’

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‘Ne confonds pas ce qui est important et ce qui compte’

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‘Fais la paix avec ton passé ton avenir en dépend’

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Belle découverte…

La semaine dernière Eric Emmanuel Schmitt présentait son nouveau livre ‘Félix et la source invisible’ dans une librairie à Paris. Salle comble… Le soir suivant il était l’un des invités à l’émission ‘la grande librairie’ sur France 5.

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L'atmosphère 

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Il arrive sous les applaudissements et nous souhaite d’emblée une année d’émerveillement. Il nous explique qu’il voit les choses avec un regard émerveillé et une âme d’enfant ; c’est là qu’il tire son énergie pour écrire…Il écrit les livres qui lui manque. Il nous raconte qu’il est le fils de ses livres, que ce sont ces livres qui le font avancer, le fabriquent et le définissent.

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‘Felix et la source invisible’ fait partie du cycle de l’invisible, qui explore les spiritualités. Tout a commencé avec le conte de ‘Milarépa’. Ce premier roman évoque une religion, plus particulièrement le bouddhisme tibétain. L’auteur écrira par la suite ‘Oscar et la dame rose’ (le christianisme), ‘Ibrahim et les fleurs du Coran’ (le soufisme),  ‘Le sumo qui ne pouvait pas grossir’ (le bouddhisme zen) etc...

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L’intrigue de "Félix et la source invisible"

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Fatou tient le ‘au boulot’, un bar à Belleville et vit avec Félix, son fils de 12 ans. Fatou vient du Sénégal, elle est partie en laissant un passé sombre. Tout va bien dans la vie de Félix, il règne en maitre sur la vie de sa maman. Une galerie de personnages attachant gravitent autour d’eux. Lorsque leurs épouses leur demandent où ils sont, il répondent ‘au boulot’. Mais soudainement Fatou perd sa joie de vivre et s’enfonce de plus en plus dans une dépression. Félix va tenter de la sauver, en partant sur les traces de ses racines.

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L’écrivain explique qu’il s’est inspiré de son père pour créer son héroïne. En effet Fatou nomme toutes les choses : visibles et invisibles : par exemple elle met des miettes de pain sur le sol le soir pour les esprits cependant elle est très consciente qu’il lui faudra les ramasser le lendemain matin. C’est par ce biais que l’auteur introduit dans cet ouvrage ‘l’animiste’. Pour lui les religions ne sont ni fausses ni vraies. Ce sont des propositions révélées, c’est une nourriture donnée à notre esprit pour nous guider dans la nuit obscure de la vie.

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Dans ce roman  le Sénégal s’impose comme le pays d’appartenance de Fatou. En effet Eric Emmanuel est jeune lorsqu’il a l’opportunité de rencontrer le président du Sénégal et grand poète Léopold Sédar Senghor. Il souhaitait écrire une histoire sur ce pays et sur l’animiste depuis très longtemps.

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L’animiste c’est l’idée que le monde visible est doublé d’un monde de l’invisible, et que tout à une âme. Il y a une organisation du monde qui sous-entend que tout a une âme : il évoque l’âme du vent, du désert, des esprits des ancêtres. L’animiste ne s’arrête pas aux apparences. L’animiste rejoint le chamanisme : derrière tout ce qui arrive il y a autre chose en jeu. L’auteur nous invite à faire un voyage dans la spiritualité pour se rencontrer soi-même. Lorsque nous nous coupons de nos racines (terre/spiritualité/langue) nous nous perdons : pour savoir qui nous sommes, il faut savoir d’où nous venons. Lorsque nous nous coupons de notre passé nous lui laissons trop de place et cela peut provoquer des névroses  et traumatismes.

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Le thème de l’enfant est récurrent dans les ouvrages de l’auteur ; l’enfance c’est l’innocence et l’ignorance. Dans ce conte Félix, 12 ans, se  sent responsable de sa maman. Eric Emmanuel Schmitt souhaite à travers ses personnages d’enfant attiré l’attention sur leurs responsabilités. Certaines fois les enfants se sentent trop responsables de leurs parents et l’auteur nous explique que ce n’est pas leur rôle. L’enfant, pour l’écrivain, est avide de savoir ; il pose des questions et demande des explications et en même temps est conscient que tout n’est pas explicable et qu’il ne sait pas grand-chose. Il évoque Platon ‘tout ce que je sais c’est que je ne sais rien’ souvent dit il, les adultes ne savent pas non plus mais ils ne veulent pas le reconnaitre.

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Ce nouveau conte nous entraine sur les traces de l’animiste, du Sénégal et de ses personnages bigarrés…

Belle découverte…

Je viens de finir un livre de Delphine de Vigan ‘les jolis garçons’ ; j’avais déjà lu ‘les heures souterraines’ il y a quelques mois. J’aime son style d’écriture, bien que particulier… Les histoires ne sont pas joyeuses (comme dans un roman feel good) ; on plonge, en effet, dans les entrailles de la nature humaine.    

L’auteur

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Delphine de Vigan est boulonnaise… Son premier roman, "Jours sans faim" est paru en 2001 sous le pseudonyme de Lou Delvig.

En 2007, "No et moi" reçoit le Prix des Libraires. Ce "roman moral" à succès sur une adolescente surdouée qui vient en aide à une jeune SDF a été récompensé par de nombreux prix. Une adaptation au cinéma a été réalisée par Zabou Breitman, sorti en 2010.

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Les intrigues

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‘Les jolis garçons’

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Prenez une femme qui aime les hommes, 30 ans, jolie…Parfois on se retourne sur elle, parfois non… Trois hommes vont croisés sa vie, trois rencontres légères, douloureuses, différentes, ephémeres… Même motif : l’illusion…

Combien de fois faut-il rejouer la fable pour être capable de s’en défaire ?

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‘Les heures souterraines’

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L'histoire se déroule un 20 mai à Paris.

Mathilde, veuve, 3 enfants, a un poste à haute responsabilité et est reconnue dans l'entreprise. D'un tempérament fragile malgré une apparence de femme sûre d'elle-même, elle met désormais en doute tout ce qu'elle entreprend, son patron va parvenir à la détruire par de multiples humiliations.

Thibault, est médecin urgentiste dans la ville de Paris. Chaque jour, il va à la rencontre de personnes souffrantes et d'autres, délaissées par la société, infiniment seules et tristes. Thibault multiplie les échecs amoureux et se retrouve seul au milieu d'une ville qui toujours se presse et jamais ne s'arrête.

Vont-ils réussir à s’apercevoir ?

Mon avis et autres pensées

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Ses deux romans sont assez noir, proche de la nature humaine, l’un nous raconte l’histoire d’une jeune femme fragile qui se perd dans ses relations amoureuses, en s’inventant des amants imaginaires ou en projetant ses envies sur des hommes qui ne sont pas fait pour elle.

L’autre nous parle des problèmes d’aujourd’hui dans le monde du travail de leur solitude, du durcissement des relations professionnelles au sein d'une entreprise. La souffrance morale est au cœur de l'existence fragile des personnages.

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La souffrance quotidienne décrite par l’auteur dans les 2 ouvrages, mène à tout, à se déprécier, à se donner, à se brader, à s'oublier.

Ce weekend je me suis plongée avec délice, frissons et délectation dans le livre de Michel Bussi, ‘Sang Famille’. Écrit en 2009, l’auteur l’a remanié pour sa sortie de 2018…

L'auteur

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Pour en savoir plus sur ce romancier se reporter à mon blog (post du 17/09/17 – livres  ‘les nymphéas noirs’ et ‘un avion sans elle’). Son livre ‘maman a tort’ a été adapté pour la télévision sur France 2 en série, et d’autres sont en cours de tournage…

L'intrigue

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L’histoire nous entraine sur l’ile de Mornesey sur les traces du passé du  jeune Colin Rémy. Il a en effet passé les plus belles heures de sa jeunesse avant d’y être arraché suite à un drame. Il y revient à l’aube de ses 16 ans afin de tenter de retrouver son père. Il va donc passer l’été dans un camp de vacances et va en profiter pour enquêter.

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L’ile abrite une prison, au même moment une évasion spectaculaire de deux brigands va faire scandale et faire fuir les habitants de l’ile. Le maire étant en congé (c’est le mois d’aout) le jeune intérimaire Simon Casanova va se mêler de l’affaire et va découvrir des secrets de l’île : en effet une légende parle de la ‘folie Mazarin’ comme d’un trésor légendaire qui dormirait dans les entrailles de la vielle abbaye que restaurait le père de Colin, et l’île serait un repère de bandits depuis des siècles.

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Les deux protagonistes vont chacun de leur côté mener l’enquête. L’intrigue entremêle les personnages et les situations comme c’est si bien le faire Michel Bussi…

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Mon avis et autres pensées

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Le twist de la fin est surprenant…

Tout est dit dans le titre ‘Sang famille’ : roman d’aventures et de mystères ; frissons garantis… un très bon moment pour se divertir…

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Je dois bien l’avouer j’ai mis du temps à l’ouvrir !… Une amie m’avait offert ‘l’ultime secret’ de Bernard Werber pour mes 33 ans, je ne le connaissais pas à l’époque et je ne comprenais pas trop le choix. Bref ! Je l’avais remisé dans un coin … et je ne l’ai ouvert que… l’an dernier… et je l’ai dévoré !

l'intrigue : 

Sur la côte d’Azur un brillant neurologue meurt… Il meurt d’extase amoureuse dans les bras d’un top model. Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg vont donc enquêter sur cette mort pour le moins étrange, et se mettre à la recherche d’une découverte scientifique peu connue mais réelle… Ce roman est une enquête palpitante dans les arcanes de l’esprit et la compréhension du fonctionnement du cerveau.

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Le dernier livre de B Werber ‘depuis l’au-delà’ m’a été généreusement prêté par une de mes collègues. Cette fois ci l’auteur nous entraine dans le monde de l’au-delà où se côtoient des âmes errantes… Pour raconter cette histoire il a été aidé par Patricia Darré (auteur déjà évoqué ici, voir rubrique ‘s’élever’)…  alors c’est dire si ce livre me tentait…

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L’auteur

Connu pour sa trilogie ‘les Fourmis’, vendu à plus de 20 millions d’exemplaires et traduit dans plus de 30 langues, B Werber est journaliste et réalisateur. Depuis son plus jeune âge, il écrit tous les matins durant 4h, il a commencé à officier dans le journal de son lycée. Passionné par les sciences, et futurs possibles de l’humanité il crée un site web, donne des masters class interactive d’écriture…

"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre." explique-t-il à ses étudiants sur le sujet de la communication.

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L’intrigue

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Dans ce livre il est question de morts qui restent parmi les vivants. Le héros, Gabriel Wells se réveille un matin avec cette question ‘qui m’a tué ?’, commence alors une quête où il va croiser une jolie médium, son grand père, des assassins, des âmes errantes, des personnages historiques (pour mémoire cela me rappelle le mur des morts d’Éric Emmanuel Schmitt dans son dernier ouvrage ‘L’homme qui voyait à travers les visages’) … Tout au long de sa quête il va découvrir un autre monde auquel, vivant, il n’aurait jamais songé…

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Mon avis et autres pensées

Le livre est construit de façon très originale :

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les personnages se présentent sous forme de récit à la première personne, dans un long monologue ;

l’auteur a insérer son ‘Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu’ d’Edmond Wells…

Je ne connaissais pas ce concept (apparemment déjà bien servi dans ces autres romans) et j’ai adhéré… De petites anecdotes en références à l’histoire un peu comme si on allait chercher l’information d’un nom ou d’une expression dans un dictionnaire (mais ça c’était avant !) ou sur Wikipédia (le dictionnaire de notre époque).

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J’ai adoré suivre le héros dans sa quête de l’au-delà. Car il s’agit de bien de ça, n’est-ce pas ? La question que tout le monde se pose : qu’est-ce qui nous attend après la mort ?

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… chacun a son opinion sur cette question…Je vous invite à donc à lire ‘Depuis l’au-delà’

L’auteur

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Japonaise, Marie Kondo s’intéresse au rangement depuis qu’elle a 5 ans. Elle a essayé toutes les méthodes possibles qu’elles trouvaient dans les magazines de décoration. Elle s’est d’abord attaqué à sa chambre puis à celle de son frère et de sa sœur jusqu’à l’armoire du salon, ce qui lui a valu quelques remontrances de la part de sa famille. Au final toutes ses méthodes tenaient un temps mais n’étaient pas pérenne, le désordre revenait toujours.

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Elle a donc continué à chercher jusqu’à ce qu’elle mette en place sa méthode. Depuis, consultante au japon, son carnet de commandes est rempli des mois à l’avance, elle donne également des conférences et son livre a été traduit en 35 langues.

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Le livre

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Tout d’abord Marie Kondo nous explique qu’elle a testé diverses méthodes et ce depuis sa plus tendre enfance. Elle s’est attaquée au rangement de sa chambre puis a élargi le champ à la maison familiale. Elle nous dit également pourquoi toutes ses méthodes n’ont pas fonctionné. Le désordre revenait à chaque fois, à plus ou moins long terme.

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Elle a donc crée sa propre méthode qu’elle détaille dans ce livre. Cette méthode pourrait se résumer ainsi : trier par catégorie (vêtements/livres/autres…et non par pièce !), jeter ce qui ne nous apporte plus de joie, s’y mettre vraiment (pas faire petit à petit), remercier les objets pour ce qu’ils nous ont apporté, plier le linge d’une certaine manière.

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Elle nous conseille de ne garder aucun papier, dans une certaine mesure tout devient dématérialisé grâce à internet et peut se stocker dans le  ‘cloud’, c’est donc plus simple.  Cependant en France il y a tout de même un certain nombre de documents que l’on ne peut pas jeter.

La catégorie la plus compliquée à trier est celle faisant référence aux objets touchant l’émotionnel : comme les photos, objets des enfants fait main (anniversaire, fêtes pères/mères, noël…), cadeaux des amis, et objets venant du passé. Marie nous recommande de les trier en dernier.

Mon avis et autres pensées

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Le fait que ce livre ai fait le tour du monde m’a sidéré. D’ordinaire je ne suis pas aussi critique mais, là, je trouve ça un peu gros de se faire de l’argent pour une histoire de rangement.

Je m’explique : je trie toujours par catégories et non par pièce, les affaires que je ne veux plus je les donne (amies, famille, voisines, femmes de ménages de mon immeuble). De plus je viens, de trouver une boite à livres installée sur le trottoir près de mon travail : le principe prendre et déposer des livres, cd, dvd…

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La fait qu’elle soit fière du nombre de sacs poubelles (car elle les compte !) de ses clients m’a choqué. La terre souffre, elle est surchargée elle se révolte (tsunami, tempête, tremblement de terre). Dans notre société de consommation nous avons tendance à stocker et accumuler un tas d’objets dans nos maisons qui finissent souvent au placard, mais est-ce une raison pour les jeter. Certains peuples n’ont même pas le minimum pour survivre ! Pourquoi demander à ses clients de jeter leurs objets dont ils n’ont plus l’usage. Quel gâchis !

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Je suis d’accord avec elle lorsqu’elle évoque le fait de remercier les objets. Si un objet n’est pas utilisé/lu/porter pendant plusieurs saisons pourquoi le garder ? Le remercier pour ce qu’il nous a apporté et le donner est une bonne approche.

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Le meilleur moyen pour se désencombrer le cerveau c’est faire place neuve dans les placards. C’est ma technique lorsque quelque chose coince : je prends du temps pour faire du tri (dans une catégorie d’objets : par exemple en début de printemps les vêtements d’hiver).

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Je ne me suis pas encore penchée sur la question du pliage, en effet sa méthode pour plier les vêtements pourrait donner plus de place dans mes placard mais qui dit plus de place dit plus possibilité d’acheter, et donc plus de choses dont je ne me servirais peut être pas…

Affaire à suivre donc !

Ce week end j’avais un looooooong week end et on m’a offert le dernier livre de Raphaëlle Giordanio… J’ai donc pris de l’avance sur mes devoirs de vacances d’été.

Alors il est comment le dernier R Giordanio ?

L’auteur

Bien sûr ayant déjà évoqué le 1er livre de cet auteur (‘la vie commence lorsque tu comprends que tu n’en a qu’une’)’ je vous invite à consulter dans cette rubrique le mot sur l’auteur.

L'intrigue

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Romane Gardener, jeune femme de trente ans, est spécialiste en ‘burnerie’. A travers sa société ‘Sup’ de burnes’ elle propose à qui veut s’amender un programme pour prendre conscience de ses comportements burnés… Qu’est-ce que la ‘burnerie’ ? Ce sont les comportements d’incivilités, d’indélicatesse, des personnes que nous sommes amenés à rencontrer dans le vie quotidienne (automobilistes enragés, conjoint dénigrant, chef autoritaire, mère intransigeante…).

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L’auteur nous emmène à travers une galerie de personnages hauts en couleur, dans une exploration de soi pour retrouver une certaine ouverture d’esprit, revenir à plus d’humilité, de gentillesse, se découvrir des facettes insoupçonnés, et ainsi faire sauter les carcans qui nous empêchent d’être vraiment soi…

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Suivez-moi je vous en livre quelques préceptes :

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Tout d’abord détecter son comportement de ’burnerie’ => repérer les pensées toxiques fabriquées pour notre mental : pensées jalouses / envieuses / hargneuses / comparaison néfaste.  Premier réflexe : la prise de conscience, et s’observer en train de s’intoxiquer avec des pensées auto destructrices. Un travail de fond peut aider pour comprendre les racines de ses schémas de pensées.

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Ensuite changer de disque => passer d’un disque négatif ‘je ne peux pas’ ‘je suis nul’ à un disque positif ‘j’ai envie de’ ‘j’ai le pouvoir de’…

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Puis écouter sa fréquence interne => établir un état intérieur de paix bienveillance, tolérance et gentillesse. Comme une fréquence radio, les ondes dégagées transforment vos relations au rapport au monde.

Également revoir sa place dans le monde => prendre de la distance en mettant les choses en perspective, se souvenir de notre place dans l’univers car nous ne sommes qu’un grain de poussière, donc nous ne sommes pas le centre de l’univers. En revanche nous sommes liés à toutes choses et à tous êtres d’où l’importance d’être responsables de nos actions.

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Et finalement adopter les anti dotes anti ‘burnerie’ => valeurs à développer, sans modération : humilité, bienveillance, amour, altruiste, empathie, sens de l’écoute, générosité, tact délicatesse, sens de l’écoute, tact….

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Mon avis et autres pensées

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J’ai dévoré ce roman, une petite pépite qui met de bonne humeur. On passe un bon moment en suivant les aventures de l’héroïne, ses doutes et ses joies. A travers le groupe en séminaire on pourrait presque appliquer les conseils de Romane pour se débarrasser de ces travers comportementaux qui nous gâchent la vie et celle des autres.

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En conclusion ‘donne du plaisir à ton corps pour donner à ton âme l’envie d’y rester’...

Qui ne connait pas Pierre Rabhi ! Ce paysan, comme il se décrit lui même, n’a de cesse de défendre la Terre. En ces temps un peu compliqué où l’on préfère  divertir les gens d’un prix d’un tailleur on n’en vient à se demander si tout tourne rond. Justement la Terre est ronde et on l’oublie souvent… On marche dessus sans plus y penser… Pierre Rabhi lui y pense, constamment ! Il a fondé l’association Colibri et a ouvert plusieurs fermes écologiques…

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Les deux auteurs ont passé quelques jours au sein de la famille de Rabhi et, au fil de leurs échanges  ils ont rapporté  fidèlement ses paroles.

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Pierre Rabhi a passé son enfance entre la France, adopté par un couple d’enseignants et dans le désert avec son père, c’est ce qui l’a forgé. C‘est un homme multiple, à la fois poète, écrivain, conférencier, scientifique, expérimentaliste, il sait encore s’émerveiller devant la vie…

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Lorsqu’il s’installe en Ardèche avec sa femme, ils travaillent durs pour faire pousser légumes et fruits sur une terre aride, élèvent des chèvre, font les marchés... A force de travail et de persévérance Pierre Rabhi va améliorer ses techniques, apprendre à connaitre la terre, et puis au fil des ans va partager son savoir. Lors de ses stages il ne parle pas que technique  il évoque également son amour de la terre…

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Il arrive à la conclusion que l’homme occidental a crée une agriculture incroyablement chère. Il compare l’épandage des engrais chimiques au dopage sportif. Il prône une agriculture qui va dans le sens de la vie c’est l’origine de la biodynamique. Il fabrique son propre compost qui est pour lui  le matériau de base.

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Pour lui la société d’aujourd’hui est l’émanation de notre conscience et si elle n’est pas satisfaisante c’est justement à cause de nous. Les enfants sont élèves ‘hors sols’, car ils grandissent dans un univers de jeux et de télévision, privé d’air  ils ne respirent que les gaz d’échappement, d’eau ils ne boivent que de l’eau javellisés, de terre ils ne marchent que sur l’asphalte.

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Alors l’avenir il le prend à bras le corps. Depuis 1981, il transmet son savoir-faire en Afrique, en France et en Europe, cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux populations. Il est aujourd'hui reconnu expert international pour la sécurité alimentaire et a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification.

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Pierre Rabhi appelle à "l'insurrection des consciences" pour fédérer ce que l'humanité a de meilleur et cesser de faire de notre planète-paradis un enfer de souffrances et de destructions

Il fonde l’association Terre & Humanisme, le Mouvement des Oasis en Tous Lieux, le centre agroécologique Les Amanins, la Ferme des enfants-Hameau des Buis et le Mouvement Colibris. Il est sollicité pour de nombreuses conférences dans le monde, et a publié plus d’une vingtaine d’ouvrages

"Il faudrait repartir de zéro, affirme-t-il, partir de la conscience et surtout de la compassion. Nous devons comprendre que notre intelligence n'est pas faite pour dominer mais pour aimer. Si nous n'avons pas la compassion, nous sommes l'horreur de la planète."

Sur le trottoir depuis quelques temps des petites cabanes fleurissent… Mais qu’est ce que c’est ? Dans la cabane on trouve des livres : c’est un nouveau concept ! Les gens y déposent des livres et d’autres les prennent, c’est un échange. On y trouve de tout, bon surtout des vieux livres il faut bien le dire,, mais ce jour là, en fouillant bien je suis tombée sur une pépite : ‘Mémé dans les orties’ d’Aurélie Valognes. (en poche pratique pour le sac à main !)

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L’auteur 

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Premier roman à 33 ans, Aurélie Valognes a tout d’abord auto éditer son roman, avant qu’il ne soit remarqué par les éditions Laffont. Depuis c’est un succès au-delà des frontières françaises.

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L’intrigue

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Ferdinand Brun, plus de 80 ans, solitaire et bougon, n’a qu’une passion dans la vie : sa chienne. Il passe son temps à éviter ses voisines, surtout la concierge Me Suarez qui fait régner l’ordre dans l’immeuble. Mais lorsqu’il perd Daisy  (sa chienne) tout bascule, il ne veut plus vivre… C’est sans compter l’intervention de la nouvelle petite voisine, Juliette, qui va lui redonner le goût de vivre.

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Mon avis et autres pensées 

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Le roman d’Aurélie Valognes est un roman ‘feel good’. Ce petit roman se lit très bien et il amène un sourire. On se prend rapidement d’affection pour les divers personnages, sauf peut-être la concierge ! L’auteur nous entraine à la suite de Ferdinand, personnage récalcitrant qui va finalement s’ouvrir petit à petit, aux autres. Ce roman parle d’ouverture aux autres, et de partage….

Aurélie Valognes a publié son second livre sous le titre ‘nos adorables belles filles’…

Belle découverte …

L’auteur 

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Je ne présente plus Fréderic Lenoir (voir rubrique ‘s’élever’). ‘L’oracle Della Luna’ est un roman où l’ on retrouve les prémices de son livre ‘le petit traité de vie intérieur’.

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L’intrigue

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Au cœur du XIV siècle, Giovanni, humble paysan, croise le chemin d’une magnifique jeune femme. Une force irrésistible l’attire vers elle. Il en tombe immédiatement et éperdument amoureux à la seconde où il l’aperçoit de loin. Son désir de l’approcher est intense mais il se fait surprendre et se retrouve séparé de sa belle. A partir de ce moment là Giovanni n’aura de cesse de vouloir la retrouver. Pour cela il quitte son village et va vivre une vie riche de rencontres fécondes, d’aventures, de rebondissements. Il entraine le lecteur dans son sillage au départ de l’Italie, son pays d’origine, en passant par les palais luxueux à la prison de Venise, du mont Athos au bagne des corsaires d’Alger, de Jérusalem jusqu’à Chypre.

Tout au long de ce parcours initiatique le jeune héros fait connaissance de personnages à travers lesquels Frédéric Lenoir va s’exprimer : un astrologue (magnifique passage sur les signes astrologiques), un prêtre chrétien, une sorcière, un juif... et bien sûr il va connaître l’amour, les affres des sentiments puissants telles que la haine, la colère, la peur qui vont l’entrainer  loin de chez lui et qui, en même temps, l’aideront à se retrouver pour enfin trouver sa voie intérieure.

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Mon avis et autres pensées

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C’est un roman magnifique, initiatique et poétique, romanesque et aventureux, où se mêlent ouverture sur le monde intérieur et extérieur à travers les connaissances de F Lenoir sur les théologies, la religion (pour mémoire : F Lenoir est le conseiller que l’on fait venir sur les plateaux de télévision lorsque le pape est en France), la philosophie, l’astrologie, sur l’Amour de soi et de l’Autre, amour filial et amoureux. Il nous fait réfléchir sur l’Histoire et sur notre histoire.

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Le fond de ce roman est une quête initiatique à la recherche de soi même. Magnifiquement raconté on se laisse emporter avec le héros à travers ses aventures à la recherche de lui-même. J’ai eu un réel plaisir à lire ce roman et je vous souhaite la même chose. 

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Belle découverte...

L’auteur

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A 23 ans, fraîchement diplômé de la Sorbonne, Laurent Gounelle se voit projeté dans le monde de l’entreprise. Cependant il n’arrive pas à s’y adapter. Trop ‘humaniste’ il va chercher ‘ailleurs’ à se former (voyages initiatiques/lectures philosophiques et psychologiques/stages à l’étranger) et devient consultant en relation humaines durant 15 ans.

En 2006 afin de partager ce qui l’anime il écrit ‘L’homme qui voulait être heureux’ : c’est un succès français et international. Depuis il a écrit d’autres livres qui nous mènent sur le chemin de la découverte de SOI.

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L’intrigue

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En vacances à Bali, Julian décide d’aller voir un ‘sage’ par curiosité… Quelle ne fut sa surprise lorsque le sage lui apprend que tout va bien mais qu’il n’est pas heureux… alors commence un voyage initiatique, à travers diverses expériences imposées par le maître, qui va le conduire à l’intérieur de lui-même.

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Mon avis et autres pensées

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J’ai adoré ‘l’Homme qui voulait être heureux’, je le conseille souvent à mes connaissances. Une scène dont je me souviens est lorsque le sage évoque Nicole Kidman… à mourir de rire… (à vous de la découvrir !!). J’ai eu la chance d’assister à une conférence de Laurent Gounelle et qu’il me dédicace mon livre…

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A travers l’histoire de Julian on peut tous se reconnaitre, enfermé dans nos ‘carcans’ (croyances / peurs / limites). La chrysalide est prête à craquer mais on n’ose pas se transformer en joli papillon (que vont penser les autres !!). Ce livre évoque le chemin que l’on peut prendre si on veut un jour s’envoler.  Le maître est là pour nous guider et nous apprendre que derrière chaque limite se cache en vérité des possibilités que souvent on n’image pas.

L’auteur

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Raphaëlle Giordiano, après avoir travaillé dans une agence de communication et en CDI dans une ambiance qui ne lui convient pas, se reconvertit.  Grâce à des études d’Arts Appliqués elle devient coach et publie dans la foulée des livres de développement personnel.

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Avec ‘Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une’, son premier roman elle s’appuye sur son expérience de coach afin de nous livrer ses ‘secrets’ de développement de soi à la recherche du bonheur à travers l’histoire de son héroïne.

L’intrigue

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Camille a tout… tout ce dont peut rêver une jeune femme proche de la quarantaine : un métier en CDI (cela rassure sa mère), un mari aimant (leur couple ronronne) et un fils qu’elle adore (qui grandit et avec qui la communication passe difficilement). Mais il lui manque un je ne sais quoi pour être tout à fait heureuse. Un soir, en panne sur une route de campagne elle va faire la connaissance de Claude qui se dit ‘routinologue’… et sa vie va basculer….

Mon avis et autres pensées

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L’auteur surfe sur la vague de la littérature ‘feel good’ : traduisez ‘les livres qui vous font/veulent du bien’. Ces livres envahissent les étagères des libraires et viennent pour la plupart des Etats Unis. En général l’histoire entremêle l’imaginaire et la réalité en s’appuyant sur  la psychologie, les méthodes de développement personnel, et si elle est saupoudrée d’une touche d’humour et/ou de romance alors c’est le succès assuré.

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Toutefois ces histoires, sans en avoir l’air, nous poussent à  quelques réflexions même si cela n’est pas très profond ni trop de prise de tête. Et également font germer l’idée que si cela a pu arriver au héros du roman et bien pourquoi pas à nous ?

Et si on croisait un jour pour de vrai le personnage de Claude, est ce qu’on serait prêt à se prendre en charge et à changer ce qui peut l’être & à accepter ce qui ne peut pas ? Posez vous la question !!

Belle découverte…

L'auteur

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Dois-je présenter Marc Levy ? Si ! Après avoir exercé divers métiers en France et aux USA il écrit un conte pour son fils, sur les conseils de sa soeur il envoie son manuscrit aux éditions R Laffont et c'est le succès grâce à 'Et si c'était vrai ?'... Depuis 2000 il se consacre à l 'écriture et publie un livre par an. Son univers est au bord du réel, futuriste et onirique...

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L'intrigue

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Partie I : 1 fille + 2 garçons - 1 amitié + 1 folle histoire d'amour sur laquelle se greffe une maladie qui va bouleverser la vie de ces jeunes gens. A moins que les garçons ne soient de petits génies en manipulation neuroscience et qu'ils inventent une 'machine' qui produira 'l'horizon à l'enve'R's" avec le fol espoir de dépasser la fatalité...

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Partie II : des années plus tard ; une jeune fille se réveille d'un long coma avec l'impression d'avoir à se redécouvrir car elle ne se reconnait pas dans la description qu'on lui fait d'elle... Elle va partir à la recherche d 'elle même en parcourant le chemin 'à l'envers'....

Mon avis et autres pensées

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Marc Levy est une fois de plus plébiscité pour son nouveau roman par la presse. Tous ces livres nous parlent car ils racontent des histoires différentes en y reprennant des thèmes tels que l'amitié, l'amour, l'espoir et au dela des termes scientifiques cet ouvrage ne déroge pas à la règle...

Je l'ai lu avec grand plaisir.

Belle découverte...